La clef de Gaia : coup de coeur (Andréa)
La Clef de Gaïa, un moment de partage et d’humanité.
Plongé pendant 1 heure en orient sous une tente berbère, Lina Lamara et Pierre Delaup partagent avec nous les souvenirs d’enfance de Gaïa avec sa grand-mère Mouima. Avec eux on parle des sorties au Hammam, de cuisine (surtout de laTchoukchouka), des hommes, de religion, de musique blues, du corps qui change, des rêves, … avec en fond pour chaque épisode narré toujours beaucoup d’amour.
Lina Lamara maîtrise à la perfection tous ses personnages, à la fois touchante et hilarante mais toujours avec une très grande justesse. Elle chante sans compromis, avec sincérité, elle donne toute sa voix et son âme au public (on peut le dire, sa voix prend aux tripes). Elle est soutenue avec brio par Pierre Delaup, guitariste qui nous touche par son silence et son regard plein de douceur et de bienveillance. Ce duo d’artistes fusionnel et à la complémentarité parfaite nous fait voyager et nous éloigne de notre quotidien.
Passant du rire aux larmes le spectateur s’identifie avec amusement à Gaïa, la petite fille et avec tendresse à Mouima, la grand-mère.
La scénographie est habilement travaillée, la scène est sobrement habillée de plusieurs éléments qui racontent à eux seul une histoire. La lumière sublime les protagonistes et permet une immersion totale dans l’univers oriental. L’auditoire se sent comme le confident privilégié de ce qui se passe sur scène.
Je voudrais dire bravo et merci à toutes les personnes qui ont permis de nous offrir ce spectacle, j’en suis sortie bouleversée.
Musique, finesse, justesse, partage, don de soi : la recette parfaite pour un spectacle qui marque et marquera les esprits et les cœurs j’en suis convaincue !
Plongé pendant 1 heure en orient sous une tente berbère, Lina Lamara et Pierre Delaup partagent avec nous les souvenirs d’enfance de Gaïa avec sa grand-mère Mouima. Avec eux on parle des sorties au Hammam, de cuisine (surtout de laTchoukchouka), des hommes, de religion, de musique blues, du corps qui change, des rêves, … avec en fond pour chaque épisode narré toujours beaucoup d’amour.
Lina Lamara maîtrise à la perfection tous ses personnages, à la fois touchante et hilarante mais toujours avec une très grande justesse. Elle chante sans compromis, avec sincérité, elle donne toute sa voix et son âme au public (on peut le dire, sa voix prend aux tripes). Elle est soutenue avec brio par Pierre Delaup, guitariste qui nous touche par son silence et son regard plein de douceur et de bienveillance. Ce duo d’artistes fusionnel et à la complémentarité parfaite nous fait voyager et nous éloigne de notre quotidien.
Passant du rire aux larmes le spectateur s’identifie avec amusement à Gaïa, la petite fille et avec tendresse à Mouima, la grand-mère.
La scénographie est habilement travaillée, la scène est sobrement habillée de plusieurs éléments qui racontent à eux seul une histoire. La lumière sublime les protagonistes et permet une immersion totale dans l’univers oriental. L’auditoire se sent comme le confident privilégié de ce qui se passe sur scène.
Je voudrais dire bravo et merci à toutes les personnes qui ont permis de nous offrir ce spectacle, j’en suis sortie bouleversée.
Musique, finesse, justesse, partage, don de soi : la recette parfaite pour un spectacle qui marque et marquera les esprits et les cœurs j’en suis convaincue !
Où ?
Théâtre des Mathurins, Paris
by Andréa
Andrea, 22 ans, chanteuse et comédienne. Apres un BTS audiovisuel en gestion de production, je suis descendue à Paris pour intégrer l’AICOM. Cela fait plus de 10 ans que je suis passionnée par la comedie musicale aussi bien française qu’ anglo-saxonne. Mes comédies musicales favorites sont « Le fantôme de l’opéra », « Les Misérables » « Le Roi Soleil » ou encore plus récemment « Dear Even Hansen ». C’est un genre qui, je l’espère perdurera en France !