Le soldat rose : coup de cœur (Franck)
3ème opus pour ce Soldat Rose, avec à la clé, l’explication sur le pourquoi de sa couleur, somme toute assez atypique pour un soldat. Ah bah oui, il est temps quand même ! Parce qu’après le grand magasin et l’orphelinat, il nous manquait tout de même cette explication capitale. C’est donc un come back qui nous est proposé ici pour uniquement deux concerts à l’Olympia. Autant dire, un rendez-vous à ne pas manquer pour ceux qui, comme moi, suivent cette aventure depuis le début.
Je ne vais pas dévoiler l’histoire pour garder la surprise à toutes celles et ceux qui voudraient la découvrir en écoute (le CD est sorti le 24 novembre), en lecture (2 livres en vente reprenant tous les textes et les chansons) ou en vidéo (les deux concerts ayant fait l’objet d’une captation).
C’est une fois encore Pierre-Dominique BURGAUD qui est à l’écriture du projet, aidé cette fois-ci pour la partie musicale de la famille Souchon (père et fils) ainsi que de Ours. Et on peut le dire sans hésiter, c’est une très belle réussite.
De nouveaux personnages, campés par des artistes investis qui permettent à la magie d’opérer pendant 1H30 de spectacle. C’est Edouard Baer qui conte l’histoire cette fois, avec élégance et malice. On retrouve, par ordre d’apparition Œil de Lynx (Stéfi Celma qui a remplacé avec brio Zazie au pied levé, empêchée par les enregistrements de The Voice), l’Homme de ménage (Alain Souchon), le Contrôleur qualité (Gaëtan Roussel, excellent dans son interprétation), le Doudou Girache (Sandrine Kiberlain), le soldat rose (Renan Luce), Bras de grue (Jean-Louis Aubert), la Ballerine (la superbe Olivia Ruiz), le robot (Calogéro), Cro-Boy (Hugh Coltman) et enfin la Poupée aux yeux rouges (Laëtitia Casta, dont l’interprétation reste malheureusement, il faut le dire, bien en-deçà de celles des autres artistes…).
Des décors très jolis, des lumières bien pensées, des projections et une caméra live permettant des gros plans sur les artistes. Beaucoup, énormément, de travail et de moyens pour juste deux représentations. Mais il faut soigner le DVD à venir en plus de ces concerts.
Cela plait aux enfants tout comme aux adultes venus découvrir le spectacle. Il y a certes quelques petits loupés, mais ça participe du charme même de ces moments uniques de par le plateau de chanteurs qui tous se retrouvent pour donner vie à un beau projet qui ne sera qu’éphémère à l’affiche.
Les chansons sont bien écrites. Elles sont quasiment toutes pleines de bons sentiments (en dehors de la méchanceté du contrôleur qualité), et ça fait du bien en ces temps justement pas si roses.
Je ne vais pas dévoiler l’histoire pour garder la surprise à toutes celles et ceux qui voudraient la découvrir en écoute (le CD est sorti le 24 novembre), en lecture (2 livres en vente reprenant tous les textes et les chansons) ou en vidéo (les deux concerts ayant fait l’objet d’une captation).
C’est une fois encore Pierre-Dominique BURGAUD qui est à l’écriture du projet, aidé cette fois-ci pour la partie musicale de la famille Souchon (père et fils) ainsi que de Ours. Et on peut le dire sans hésiter, c’est une très belle réussite.
De nouveaux personnages, campés par des artistes investis qui permettent à la magie d’opérer pendant 1H30 de spectacle. C’est Edouard Baer qui conte l’histoire cette fois, avec élégance et malice. On retrouve, par ordre d’apparition Œil de Lynx (Stéfi Celma qui a remplacé avec brio Zazie au pied levé, empêchée par les enregistrements de The Voice), l’Homme de ménage (Alain Souchon), le Contrôleur qualité (Gaëtan Roussel, excellent dans son interprétation), le Doudou Girache (Sandrine Kiberlain), le soldat rose (Renan Luce), Bras de grue (Jean-Louis Aubert), la Ballerine (la superbe Olivia Ruiz), le robot (Calogéro), Cro-Boy (Hugh Coltman) et enfin la Poupée aux yeux rouges (Laëtitia Casta, dont l’interprétation reste malheureusement, il faut le dire, bien en-deçà de celles des autres artistes…).
Des décors très jolis, des lumières bien pensées, des projections et une caméra live permettant des gros plans sur les artistes. Beaucoup, énormément, de travail et de moyens pour juste deux représentations. Mais il faut soigner le DVD à venir en plus de ces concerts.
Cela plait aux enfants tout comme aux adultes venus découvrir le spectacle. Il y a certes quelques petits loupés, mais ça participe du charme même de ces moments uniques de par le plateau de chanteurs qui tous se retrouvent pour donner vie à un beau projet qui ne sera qu’éphémère à l’affiche.
Les chansons sont bien écrites. Elles sont quasiment toutes pleines de bons sentiments (en dehors de la méchanceté du contrôleur qualité), et ça fait du bien en ces temps justement pas si roses.
A la fin du spectacle, les enfants sont invités à rejoindre les artistes sur scène. Un joli moment pour eux, comme pour les parents qui immortalisent ces instants privilégiés.
Pour le coup, je ne peux pas vous conseiller d’aller voir le spectacle, puisque c’est déjà terminé. Mais je vous engage à découvrir tout cela grâce au CD ou aux 2 livres déjà en vente, avant de pouvoir voir le spectacle en DVD ou lors d’une diffusion TV (comme ça avait été le cas pour les deux autres).
Un GROS COUP DE CŒUR et un GRAND MERCI à tous ceux qui ont permis de rendre ce joli moment possible.
Où ?
Olympia, Paris]
by Franck
Franck, 43 ans, professeur des écoles (Seine et Marne). Ma passion pour l’univers des comédies musicales est née avec Starmania en 1994 au théâtre Mogador. Depuis, elle ne s’est jamais tarie. Elle se partage même en famille, avec ma compagne et mes deux enfants de 13 et 18 ans. En plus de vingt années et plusieurs dizaines de spectacles, j’ai été émerveillé, ému, dubitatif ou déçu. C’est ça le spectacle vivant ! Vous pouvez découvrir ici mes coups de cœur et mes coups de griffe sur certains des spectacles à l’affiche