Grégory Benchenafi
On aime
l’attachement de Gregory aux formats originaux du spectacle vivant. Opérette, vaudeville, théâtre de boulevard : il est friand de projets qui impliquent de partir au contact du public. Il aime se produire en province, dans des salles intimistes et se déplacer en tour-bus avec une troupe etc. Cette fois-ci, c’est grâce au formidable engouement qui s’opère autour de son duo avec Valérie Marie que sa voix a fait le tour du monde et a séduit médias, professionnels, et publics !
Grégory a toujours été attiré par les arts de la scène, même s’il se destinait initialement aux disciplines sportives. Après avoir été inscrit à l’émission « Attention mesdames et messieurs », il rencontre Roger Louret (alors membre du jury) et sa compagnie Les Baladins en Agenais. Il est repéré par le metteur en scène qui le recontacte quelques temps plus tard pour lui proposer sa première apparition télévisée, dans le cadre de la Fête de la Chanson Française. Par la suite, Grégory a multiplié les scènes et les projets en se tournant notamment vers le genre de l’opérette, avec une volonté certaine de le remettre au goût du jour en lui apportant un souffle de modernité et d’accessibilité.
Il s’est fait connaitre du grand public grâce au spectacle « Mike, laisse-nous t’aimer », mis en scène par Thomas Le Douarec. Il a fait l’unanimité dans le rôle du protagoniste, ce qui n’était pourtant pas gagné d’avance dans la mesure où interpréter une idole telle que Mike Brant est un challenge tant artistique qu’affectif, à travers le regard des spectateurs. Sa prestation lui a valu une nomination aux Molières 2011, dans la catégorie « Jeune talent masculin ».
La même année, il a retrouvé Thomas Le Douarec au Vingtième Théâtre dans le cadre de son projet « Dorian Gray ». Grégory s’est vu confier le rôle-titre. On a pu le retrouver au sein de plusieurs compagnies et spectacles, notamment de reprises de chansons cultes de la Variété française ou internationale, à l’image de « Les garçons » : un groupe composé d’une dizaine de chanteurs qui revisitent les plus grands tubes, sous forme d’arrangements ou de mashup depuis plusieurs années.
En 2014, Grégory a intégré la troupe de « Mistinguett, reine des années folles » aux côtés de Carmen Maria Vega dans le rôle-titre, au Casino de Paris (puis au Comédia lors du retour du spectacle). Il a interprété le rôle de Harry Pilcer dans cette production mise en scène par François Chouquet, ce qui lui a permis d’approfondir sa maîtrise de la danse. Il a ensuite participé à plusieurs festivals d’opérette et a intégré la compagnie Trabucco, dévoilant une nouvelle corde à l’arc de ses talents : celle d’auteur et metteur en scène. De fait, Grégory a participé à la création du spectacle « Souvenirs souvenirs » à l’automne dernier ; un condensé d’émotions portées par des personnages hauts en couleurs et des reprises décalées. Il est d’ailleurs à nouveau à l’écriture de la prochaine pièce de la compagnie, qui s’annonce être un spectacle hommage.
L’année dernière a été une année très riche pour lui, aussi bien sous le feu des projecteurs qu’en coulisses. Après avoir foulé les planches de l’Odéon de Marseille pour « Dédé » en 2016, il y est revenu dans la peau de Ferdinand pour « Quatre jours à Paris ». Sur scène, il a aussi endossé le costume de Roland Cassard pour « Les parapluies de Cherbourg », mis en scène par Emmanuel Dell’Erba, toujours en tournée. Outre ses participations à de nombreux collectifs, il a aussi contribué à l’élaboration de plusieurs projets, comme par exemple le spectacle familial « Les mondes de Zazo » ou la comédie ‘musico-romantique’ « Mes Ex », écrite par Barbara Laurent, actuellement en tournée également.
Il s’est fait connaitre du grand public grâce au spectacle « Mike, laisse-nous t’aimer », mis en scène par Thomas Le Douarec. Il a fait l’unanimité dans le rôle du protagoniste, ce qui n’était pourtant pas gagné d’avance dans la mesure où interpréter une idole telle que Mike Brant est un challenge tant artistique qu’affectif, à travers le regard des spectateurs. Sa prestation lui a valu une nomination aux Molières 2011, dans la catégorie « Jeune talent masculin ».
La même année, il a retrouvé Thomas Le Douarec au Vingtième Théâtre dans le cadre de son projet « Dorian Gray ». Grégory s’est vu confier le rôle-titre. On a pu le retrouver au sein de plusieurs compagnies et spectacles, notamment de reprises de chansons cultes de la Variété française ou internationale, à l’image de « Les garçons » : un groupe composé d’une dizaine de chanteurs qui revisitent les plus grands tubes, sous forme d’arrangements ou de mashup depuis plusieurs années.
En 2014, Grégory a intégré la troupe de « Mistinguett, reine des années folles » aux côtés de Carmen Maria Vega dans le rôle-titre, au Casino de Paris (puis au Comédia lors du retour du spectacle). Il a interprété le rôle de Harry Pilcer dans cette production mise en scène par François Chouquet, ce qui lui a permis d’approfondir sa maîtrise de la danse. Il a ensuite participé à plusieurs festivals d’opérette et a intégré la compagnie Trabucco, dévoilant une nouvelle corde à l’arc de ses talents : celle d’auteur et metteur en scène. De fait, Grégory a participé à la création du spectacle « Souvenirs souvenirs » à l’automne dernier ; un condensé d’émotions portées par des personnages hauts en couleurs et des reprises décalées. Il est d’ailleurs à nouveau à l’écriture de la prochaine pièce de la compagnie, qui s’annonce être un spectacle hommage.
L’année dernière a été une année très riche pour lui, aussi bien sous le feu des projecteurs qu’en coulisses. Après avoir foulé les planches de l’Odéon de Marseille pour « Dédé » en 2016, il y est revenu dans la peau de Ferdinand pour « Quatre jours à Paris ». Sur scène, il a aussi endossé le costume de Roland Cassard pour « Les parapluies de Cherbourg », mis en scène par Emmanuel Dell’Erba, toujours en tournée. Outre ses participations à de nombreux collectifs, il a aussi contribué à l’élaboration de plusieurs projets, comme par exemple le spectacle familial « Les mondes de Zazo » ou la comédie ‘musico-romantique’ « Mes Ex », écrite par Barbara Laurent, actuellement en tournée également.
Si la carrière de Grégory est donc déjà très riche et éclectique, il semblerait qu’elle connaisse un nouveau rebond, portée par un buzz médiatique aussi inattendu qu’épanouissant. Le 18 février dernier, il a fait la rencontre de la pianiste Valérie Marie à l’aéroport de Toulouse-Blagnac par un heureux hasard. De fait, elle jouait « Hallelujah » de Leonard Cohen à l’un des pianos installés dans l’aéroport, dans l’attente d’un vol retardé. Constatant l’intérêt de Grégory pour son interprétation, elle l’a convié à l’accompagner au chant ; tous deux étant filmés. Un moment suspendu dans le temps causé par le retard d’un vol qui est finalement devenu un véritable phénomène : la vidéo compte à l’heure actuelle plus de 3 millions de vues ! Très vite, ils sont repérés par Fabrice Nataf, dirigeant d’un label indépendant, et enregistrent deux autres titres qui composent leur EP commun : « Une rencontre », sorti le 02 mars. Une jolie histoire qui permet au talent de Grégory de se faire connaitre par un bienfaisant effet de bouche-à-oreille !
by Valentine